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Interview de Christophe Giovaninetti, violoniste

Christophe Giovaninetti.  Photo Thierry AntablianNous avons rencontré le violoniste Christophe Giovaninetti alors qu'il était premier violon du Quatuor Élysée. Après avoir quitté la formation, il se consacre à d'autres formes d'expression musicale qu'il nous explique. Un très beau disque dédié à Debussy, Pierné et Fauré sorti chez le nouveau label Continuo Classics accompagne cette nouvelle orientation de carrière. Avec la pianiste japonaise Izumiko Aoyagi, également écrivain reconnue et spécialiste de Debussy, Christophe Giovaninetti a en particulier enregistré en première mondiale la Sérénade pour violon et piano de Debussy complétée par le musicologue Robert Orledge.

Izumiko Aoyagi prendra part à cet entretien depuis le Japon afin de nous apporter quelques précieuses informations sur cette pièce inédite…


Tutti-magazine : Lorsque nous nous sommes rencontrés en avril 2012, vous étiez premier violon du Quatuor Élysée, une formation que vous avez fondée en 1995. Pourquoi l'avez-vous quittée en 2013 ?

Christophe Giovaninetti : Mille raisons conduisent à quitter une formation. J'ai quelque 30 ans de quatuor derrière moi - 15 années avec le Quatuor Ysaÿe, et environ 15 avec le Quatuor Élysée - et je reconnais que cette formation a exercé sur moi une véritable fascination, tout d'abord en raison de son répertoire absolument gigantesque, tant en en quantité qu'en qualité. Pour autant, je suis aujourd'hui heureux de m'en éloigner car l'expérience du quatuor ne va pas sans une lourdeur des rapports humains qui se vivent en permanence entre quatre personnes, et bien sûr toujours les mêmes. Cela est du reste tout à fait normal et les bonheurs, comme les tensions ou les désaccords sur les politiques à adopter sont inhérents à la vie d'une telle formation. Le Quatuor Élysée a beaucoup évolué par rapport à la composition initiale et c'est une des raisons, parmi d'autres, qui explique que je m'en sois éloigné. Indépendamment de cela, je crois avoir ressenti le besoin très personnel d'aller vers une autre voie par nécessité d'évoluer comme musicien, mais aussi comme violoniste.

 

Le violoniste Christophe Giovaninetti photographié par Thierry Antablian.  D.R.


Aujourd'hui, votre idée n'est donc pas de vous lancer à corps perdu dans un autre quatuor…

Non. Mais, à vrai dire, lorsque j'ai quitté le Quatuor Ysaÿe, la situation était assez semblable et je n'avais pas l'intention d'intégrer un autre quatuor. Puis, je me suis laissé porter par les événements et les rencontres en intégrant le Quatuor Élysée… Aujourd'hui j'ai besoin de me découvrir en tant que violoniste, sinon soliste, ou tout du moins en tant que musicien indépendant. Je vais continuer à m'investir dans la musique de chambre, mais aussi dans un répertoire plus solistique qui fait réellement appel à des qualités instrumentistes propres. Je ne perds pas de vue que ma fascination pour le violon est tout de même très forte au-delà de ma fascination pour la musique. Le quatuor permet de se plonger dans une dimension musicale extraordinaire, mais le but premier est celui de faire sonner un quatuor. Ce qui me stimule maintenant est davantage une expression personnelle comme peut l'être l'expression d'un chanteur qui met en avant les caractéristiques de sa voix.

Avec votre expérience de musicien chambriste, comment expliquez-vous que de nombreuses formations ont du mal à accéder à la stabilité ?

La lassitude d'un répertoire peut intervenir, comme celle d'être en tournée sans arrêt. On peut également ressentir une fatigue physique par rapport à l'instrument, et on ne se sent plus exactement en adéquation avec la carrière que l'on mène. Mais les rapports humains sont très importants et chaque musicien doit se poser la question de la limite de sa propre aptitude à supporter les désaccords, que ce soit sous l'angle de la politique artistique ou sous un angle entièrement personnel. Avec les années, ce genre de malaise peut s'enraciner jusqu'à devenir très important. Vous remarquerez du reste que peu de quatuors atteignent les 40 ans de carrière. La longévité, pour cette formation, est même assez exceptionnelle. Lorsque des membres quittent la formation, cela ne se passe pas toujours bien car les tensions qui ont été accumulées pendant des années peuvent ressortir entre deux musiciens qui pouvaient être les meilleurs amis du monde, voire des membres d'une même famille. Les tensions humaines sont si considérables que cela aboutit parfois au procès… Mais tout cela fait également l'intérêt de l'expérience du quatuor. Pour moi, il s'agit même d'aventures artistiques et humaines réellement incroyables.

 

Izumiko Aoyagi et Christophe Giovaninetti photographiés par Marie-Sophie Leturcq.  D.R.

Vous avez enregistré votre nouveau disque avec la pianiste Izumiko Aoyagi. Pouvez-vous nous parler du duo que vous formez ?

Cliquer pour commander le CD <i>Minstrels</i> de Christophe Giovaninetti et Izumiko Aoyagi édité par Continuo Classics…Izumiko Aoyagi et moi-même nous sommes rencontrés lorsque nous étions étudiants à Marseille. Izumiko était élève de Pierre Barbizet, alors Directeur du Conservatoire de Marseille. Nous avons commencé à jouer ensemble à cette époque. Puis, durant de nombreuses années, nous n'avons plus collaboré sans toutefois nous perdre de vue. Je la voyais lorsque j'allais au Japon et elle venait assez souvent en France en tant que musicologue spécialisée dans la musique française et, notamment, Debussy. Izumiko a construit essentiellement sa carrière de pianiste au Japon à travers les récitals…

Comment vous êtes-vous retrouvés…

Izumiko jouant beaucoup Debussy, l'idée nous est venue de jouer à nouveau ensemble. Elle a organisé une tournée au Japon, ce qui nous a donné l'occasion de nous produire dans de très belles salles et, lorsqu'il a été question d'un disque de musique française, j'ai tout naturellement pensé à Izumiko qui la défend si bien.

Ce disque est consacré à Debussy, Pierné et Fauré. Quel fil conducteur relie ces pièces ?

La Sérénade pour violon et piano étant inédite - elle n'est pas même éditée - le choix de Debussy s'imposait pour ouvrir le programme. La petite pièce par laquelle nous commençons, Minstrels, a donné son titre à l'album. Cette pièce est très peu jouée par les violonistes. Il s'agit d'une transcription de Debussy lui-même et elle sonne particulièrement bien au violon. Nous avons également enregistré La Plus que lente, transcrite cette fois par Léon Roques, mais qui fonctionne également très bien. Avec la Sonate, qui est en quelque sorte une pièce importante du répertoire d'Izumiko, cette section consacrée à Debussy me semble former un ensemble cohérent.
Pierné et Debussy étaient très proches. Nous avons donc choisi d'enchaîner avec sa Sonate en ré mineur, une œuvre peu jouée également. On l'entend curieusement davantage à la flûte qu'au violon… Nous finissons par Fauré qui s'inscrit encore dans un élan romantique et la Sonate No. 1 en la majeur, pièce du grand répertoire s'il en est, que nous tenions aussi à intégrer à ce disque.Christophe Giovaninetti.  Photo Marion Chaix

Comment définissez-vous le traitement du violon pour chacun de ces compositeurs ?

L'écriture de Debussy est vraiment très particulière. Même en connaissant l'œuvre du compositeur, on peut même s'en étonner. Avec Debussy, l'écriture est fantasque et se situe à l'opposé de la "voix accompagnée" à la manière des pièces de Fauré. Avec Pierné, on se trouve face à une expression originale et l'on sent un univers particulier. Finalement, par rapport à ces trois compositeurs, l'approche au violon est sensiblement différente. La Sonate de Debussy est sans doute la pièce la moins violonistique et il n'est pas toujours évident d'en trouver l'esprit, entre l'expression de surface un peu décontractée et la véritable aigreur et le sarcasme qui l'habitent. Pierné s'inscrit également dans une dimension de rêve et de poésie, mais sans cet aspect sarcastique. Quant à Fauré, il évoque pour moi à la fois le courant romantique et les débuts des sonorités propres à la musique française.

Avec quel type d'écriture trouvez-vous le plus d'affinité ?

Peut-être Fauré car il permet de faire sonner le violon avec une générosité romantique et une fluidité française qui me conviennent relativement bien. Disons qu'elles me sont naturelles. La Sonate de Debussy est sans doute la sonate que j'ai le plus jouée, mais elle me pose toujours des problèmes car elle nécessite d'aller chercher à l'intérieur. Sur le plan de l'instrument, elle présente des surprises et il est difficile d'être serein par rapport à cette pièce. Quant à Pierné, c'est une sonate que je ne joue que depuis 3 ou 4 ans et qui n'est pas facile à jouer en raison de suraigus assez inhabituels qu'il faut atteindre. Le mouvement lent sort plus naturellement que les deux autres mouvements.

Les premières mesures de Minstrels confiées au violon donnent une impression d'hésitation avant l'entrée du thème. Quelle est votre marge de liberté par rapport à la partition pour exprimer ce sentiment ?

La partition indique "jouer libre", et c'est bien tout le souci ! Mais on sent bien la nature de l'esprit et ce côté inhérent, là encore fantasque, lié aux minstrels qui étaient des musiciens comiques. La mise en place n'est pas évidente car l'idée est justement de jouer sans aucune rigueur. Or on joue à deux… Le sentiment d'improvisation que procure l'écoute de Minstrels* est lié à l'importance de l'osmose entre le violon et le piano. La liberté fonctionne du reste dans les deux sens car, si le piano suit le violon, l'inverse est vrai aussi. Cette pièce est assez délicate et, comme dans la Sonate, l'écriture de Debussy n'est pas spécialement violonistique.
* La vidéo de Minstrels est proposée à la fin de cet article.

 

Pour nous parler de la Sérénade pour violon et piano de Debussy, nous donnons la parole à Izumiko Aoyagi…


Izumiko Aoyagi, pianiste et écrivain.  D.R.

En tant que spécialiste de Debussy, pouvez-vous nous expliquer la genèse de la Sérénade pour violon et piano de Debussy ?

Izumiko Aoyagi : J'ai assisté en février dernier au colloque international organisé à l'occasion du 150e anniversaire de la naissance de Debussy auquel participait le musicologue anglais Robert Orledge. Il a présenté son travail qui consistait à rassembler des esquisses de Debussy et c'est à cette occasion que j'ai entendu parler pour la première fois de cette Sérénade qu'il complétait et que nous avons jouée par la suite avec Christophe. Le manuscrit avait été confié par la seconde femme du compositeur, Emma, au pianiste et compositeur cubain Joaquin Nin, père de l'écrivain Anaïs Nin. Ce manuscrit de 12 mesures a été mis en vente et Robert Orledge en est devenu acquéreur. La reconstruction qu'il a ensuite opérée porte sur 80 mesures. Le thème que Debussy développe dans les 12 mesures originales date des années 1890 et nous renvoie à l'air de Lady Madeline, héroïne de son opéra inachevé La Chute de la maison Usher d'après Edgar Allan Poe. Debussy a travaillé sur cette œuvre de 1908 jusqu'à sa mort.

Le musicologue Robert Orledge disposait seulement d'une esquisse de douze mesures. Pour parvenir à une pièce d'une durée de 6', pensez-vous que son apport pourrait être approuvé par Debussy ?

L'ajout conséquent de Robert Orledge est écrit dans le style orientalisant et respecte les caractéristiques de la musique de Debussy. La pièce reconstruite est très plaisante. Tant Christophe que moi-même éprouvons beaucoup de plaisir à la jouer.

Robert Orledge a également reconstruit une version de cette pièce pour l'orchestre. Pensez-vous que les couleurs qui s'en dégagent sont proches de la version violon et piano que vous avez enregistrée ?

Je n'ai pas vu la partition d'orchestre mais j'ai déjà entendu cette version. Les couleurs sont identiques mais enrichies par l'orchestration. La version orchestrale d'Orledge ajoute quelques petites choses, dont une cadence au violon. Cette cadence n'était pas présente dans sa version violon et piano et Christophe l'a reprise de la version orchestrale afin d'enrichir la version que nous jouons.

Debussy, Pierné et Fauré sont-ils des compositeurs qui parlent à la sensibilité musicale japonaise ?

Les Japonais apprécient beaucoup la musique de Fauré et de Debussy, et plus largement la musique française qui a beaucoup utilisé les motifs orientaux dont ils sont très familiers. En revanche, Pierné constitue pour beaucoup une découverte. Mais je trouve intéressant de proposer aussi des œuvres que le public ne connaît pas. Du reste Pierné était très ami avec Debussy. La sonorité délicate et sensible de Christophe est également un atout au Japon !

 

Izumiko Aoyagi et Christophe Giovaninetti enregistrent l'album <i>Minstrels</i> édité par Continuo Classics.  Photo Marie-Sophie Leturcq

 

Nous poursuivons notre discussion avec Christophe Giovaninetti…

 

Votre enregistrement de la Sérénade pour violon et piano de Debussy est une première. Votre démarche s'en trouve-t-elle différente ?

Christophe Giovaninetti : Pas vraiment. Je dirais même plutôt qu'il s'agit de l'inverse. Quand la discographie d'une œuvre offre, comme la Sonate de Fauré, une cinquantaine de versions et que vous allez en enregistrer une nouvelle, la tension est presque là. En effet, qu'allez-vous bien pouvoir apporter ? Bien entendu, il faut jouer et faire abstraction de cette question sans quoi il n'y a aucune justification à enregistrer une version supplémentaire. Pour la Sérénade de Debussy on peut en revanche ressentir une forme de décontraction et de plaisir à proposer à l'auditeur quelque chose qu'il n'a jamais entendu. Cela étant, disposer de multiples versions permet à l'interprète de savoir ce que d'autres ont fait avant lui. Des décennies d'interprétations nous apportent un recul considérable sur une œuvre. Pour la Sérénade, je ne peux naturellement pas avoir de recul et peut-être que dans 5 ans, après l'avoir jouée une cinquantaine de fois en concert, je trouverai peut-être d'autres aspects qui enrichiront mon approche. Quoi qu'il en soit, la spontanéité du premier enregistrement est assez agréable.

Quel est le moment idéal pour enregistrer une œuvre ?

La pratique du concert et celle de la scène font qu'on ne joue pas de la même façon. Je redouterais d'enregistrer une pièce que je n'ai pas jouée sur scène, car cette expérience transforme véritablement. La scène permet de faire des découvertes que même les répétitions chez soi durant des mois ne permettent pas de faire. Cela vient sans doute de l'attention très particulière qui naît du jeu face à un public et qui implique de la part de l'interprète d'être totalement présent à ce qu'il joue. Même avec la meilleure volonté du monde, il est impossible d'obtenir ce niveau d'attention en répétition, sans public. Cette implication totale du musicien par rapport à l'œuvre fait naître des idées, une respiration qui va créer tout à coup un relief particulier. Le concert, parfois, permet de se rendre compte que ce que nous avions préparé ne fonctionne pas aussi bien que prévu. Le ressenti immédiat permet ce genre de prise de conscience qui va modifier la façon dont on travaillera ensuite pour soi. La scène corrige et modifie l'approche d'une œuvre. La jouer devant un public une fois ou cinq fois n'est pas la même chose. C'est pour cette raison que, jusqu'à la moitié du XXe siècle, les interprètes ne faisaient des disques qu'après avoir construit une importante carrière sur laquelle ils s'appuyaient. L'enregistrement arrivait alors comme une sorte d'aboutissement. Aujourd'hui, on enregistre pour pouvoir faire ensuite des concerts… De la même façon, enregistrer une œuvre fait qu'on ne la joue plus tout à fait de la même façon ensuite. Écouter les différentes prises donne du recul et permet de se rendre compte de points de détails particulièrement précis.

Vous avez enregistré au CNSM de Paris en mars 2013. Comment se sont déroulées les sessions d'enregistrement ?

Nous avons enregistré ce disque en seulement 3 jours, ce qui représente somme toute peu de temps par rapport à la quantité de musique que nous voulions proposer. De fait, cela a rendu l'enregistrement difficile sur le plan de la fatigue. Nous avons programmé chaque jour une pièce importante ainsi que de courtes pièces que nous pouvions enregistrer plus rapidement, la Sérénade de Debussy excepté car, bien que nous l'ayons jouée plusieurs fois en concert, l'expérience nous manquait sans doute un peu. En revanche Minstrels et La Plus que lente ont dû nous demander deux prises, pas davantage. Nous avons donc pu trouver un équilibre entre ce qui nous demandait peu de temps et les œuvres plus complexes que l'accumulation de fatigue rendaient encore plus difficiles à gérer. Un jour de plus aurait été idéal. Mais il faut être conscient du coût d'une journée supplémentaire… Cela étant nous sommes satisfaits de cet enregistrement qui reflète notre manière d'aborder ces morceaux à un moment précis de notre expérience musicale.

 

Anthony Leroy (violoncelliste), Pascal Amoyel (pianiste), Dana Giovaninetti (pianiste) et Christophe Giovaninetti (violoniste) lors d'un concert à Nouméa.  D.R.

Quels sont vos prochains  rendez-vous à venir avec le public ?

Christophe Giovaninetti et ses élèves.  Photo Marion ChaixPlusieurs projets sont en cours mais pas encore suffisamment définis pour que je puisse vous en parler. D'autres dates sont fermes* et je dois également participer à divers concerts privés…

Je développe également un projet un peu plus lointain sur l'histoire du quatuor à cordes. Voyez-vous, j'ai quitté le quatuor mais j'y replonge avec plaisir pour cette opération car on me propose une carte blanche au Théâtre de Rungis. J'ai écrit un texte qui sera joué par un acteur. Un quatuor que j'ai constitué pour l'occasion assurera la partie musicale. La première partie du spectacle proposera un zapping qui débutera avec Haydn pour aboutir aux compositeurs contemporains. Nous jouerons en deuxième partie l'intégralité du Quatuor à cordes No. 14 de Beethoven afin de ne pas laisser entendre au public qu'un quatuor est composé de petits extraits alors que c'est exactement l'inverse !
J'ai également quelques projets de concerts avec la violoncelliste Emmanuelle Bertrand, et je travaille actuellement le Concerto pour violon de Beethoven. Je le jouerai également à Rungis, ce dont je me réjouis beaucoup…
* Voir les dates de concerts de Christophe Giovaninetti à la fin de l'article.

Vous vous intéressez aussi à la philosophie…

Je travaille effectivement en ce moment sur un projet que j'ai appelé "Musique et pensée" qui consiste à mettre en miroir des textes philosophiques et des musiques. J'ai déjà construit trois programmes de musique de chambre avec acteur. Le dernier s'appuie sur des extraits d'Ainsi parlait Zarathoustra de Nietzsche et les Sonates de Brahms, ainsi qu'une œuvre pour piano et violon de Nietzche qui était également compositeur…



Propos recueillis par Philippe Banel
Le 20 novembre 2013

Quelques concerts de Christophe Giovaninetti et Izumiko Aoyagi en 2014

25 Janvier : Nanterre (92) avec Izumiko Aoyagi
31 janvier : Marseille (13) avec Izumiko Aoyagi
1er février : Paris (Centre Tchèque) avec l’Ensemble Calliopée
14 mars : Bucarest (Roumanie) avec Livia Teodorescu
27 mars : Meylan (38) avec l’Ensemble Calliopée
6 mai : Rungis (94) avec C. Gaugué, A. Leroy, B. Lemaître
16 mai : Beauvais (60) avec E. Bertrand, P.H. Xuereb
17 mai : Beauvais avec E. Bertrand, P.H. Xuereb
18 mai : Beauvais avec E. Bertrand, P.H. Xuereb
28 mai : Le Kremlin-Bicêtre (94) avec l’Ensemble Calliopée
4 juin : Rungis (94) - Concerto de Beethoven, en soliste
12 juin : Ajaccio (Corse) soliste et direction Ens. Inst. de Corse
13 juin : Calvi (Corse) soliste et direction Ens. Inst. de Corse
14 juin : Bastia (Corse) soliste et direction Ens. Inst. de Corse
6 août : San Polo d’Enza (Italie) avec Tizziano Mealli
8 août : San Polo d’Enza avec A. Farulli, T. Mealli, A. Nanoni
18 septembre : Vienne (Autriche) avec Louise Sibourd
17-25 octobre : Tournée au Japon avec Izumiko Aoyagi
7 décembre : Meaux (77) avec l’Ensemble Calliopée



Le disque Minstrels enregistré par Christophe Giovaninetti
et Izumiko Aoyagiest également disponible

sur le site UnaVoltaMusic.com

Mots-clés

Christophe Giovaninetti
Claude Debussy
Gabriel Fauré
Gabriel Pierné
Izumiko Aoyagi
Quatuor Elysée

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Vidéo

Minstrels - Christophe Giovaninetti & Izumiko Aoya

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